Partage d’avis pour discuter de Hellblade 2 et je vais pas vous faire l’insulte de livrer des poncifs en mode « il a des défauts mais aussi des qualités… » et autres platitudes qui permettent de ne jamais se mouiller en prônant le chaud et le froid alors on est parti…
À l’instar du premier épisode que j’avais beaucoup aimé, Hellblade 2 est de ces propositions rares dans l’industrie, dans le sens où l’on fait face à une expérience sensorielle intense bien plus qu’à une expérience ludique prononcée… Ce que je veux dire c’est qu’on est plus face à un jeu comme Scorn, ou Heavy Rain qu’à une œuvre type Nintendo AKA Gameplay first. Du coup je ne vais pas rentrer dans la définition de JV en tentant d’exclure des genres, il appartient, je le pense, aux gens qui font des jeux, de décider et de challenger les limites du genre.
Et du coup, aborder un titre pareil, en attaquant la pauvreté réelle, de son gameplay et de son offre lufique stricto sensu, c’est rater complètement le propos. Ça a autant d’intérêt que de comparer John Wick à History of violence, parce que les deux sont violents…
Petit thread pour parler un peu de Hellblade 2 et je vais pas vous faire l’insulte de livrer des poncifs en mode « il a des défauts mais aussi des qualités… » et autres platitudes qui permettent de ne jamais se mouiller en prônant le chaud et le froid alors on est partit… pic.twitter.com/dwrdhnbF2C
— Aymar Azaïzia (@AymarMtl) May 23, 2024
Fondateur de zeGeeks, rédac’ chef, responsable éditorial, graphiste, monteur vidéo, webmaster… en un mot le « métronome » du média. Reconnu pour accomplir diverses tâches avec sa bite et son couteau (suisse) . La légende dit qu’il serait le fils caché d’Hideo Kojima et d’Akira Toryama.